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| Much Ado About Nothing # Cleo & Manech | |
| Auteur | Message |
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Cleo L. Williams
All that you need to know âge : vingt-trois ans statut : Célibataire ville d'origine : Brisbane, Australie occupation : Infirmière pseudo : Leo posts : 110 avatar : Jennifer Lawrence crédits : Sugar Slaughter/tumblr double-compte : Non dispo RP : avec plaisir ! inscrit le : 05/04/2012
| Sujet: Much Ado About Nothing # Cleo & Manech Sam 7 Avr - 21:31 | |
| Trois heures du matin, mon téléphone sonne. Le cri strident du Blackberry que j’ai oublié de mettre en silencieux retentit à quelques centimètres de moi, posé sur la table de chevet à la droite du lit. Je m’extirpe avec difficultés des bras de mon seul amant, Morphée, et mes paupières papillonnent, tandis que mes yeux bleu gris se posent sur les chiffres rouges du réveil. Trois heures passées. Pas loin de trois heures dix. Qui peut bien m’appeler à une heure pareille ? Mon cerveau calcule rapidement que chez moi, à Brisbane, il est vingt heures, et je me redresse d’un bond : est-ce qu’il s’est passé quelque chose ? Papa, Paul, Adrien, Christopher ?! Les cheveux ébouriffés, les yeux bouffis de sommeil, la voix pâteuse, je décroche sans même regarder qui m’appelle. « Allô ? » Mais ce n’est ni mon père, ni l’un de mes frères. Ce n’est pas un appel d’Australie. Enfin, pas vraiment. « Manech ? Mais… Qu’est-ce qu’il se passe ? » Oui, une personne normale aurait certainement dit : « Mais est-ce que tu sais l’heure qu’il est M*RDE ! », mais dans mon langage, ça voulait dire à peu près la même chose. Le gros mot en moins cependant. Je n’disais jamais de gros mots. Un autre truc à savoir sur moi. Ouais, il y a plein de trucs assez bizarre en fait à savoir sur moi. Mais là n’était pas la question, il y avait un sujet plus intéressant (il y a toujours un sujet plus intéressant que moi et ma vie… même si c’est le système reproductif des escargots, ou la rotation de la terre autour du soleil. C’est tout, c’est comme ça) : la raison de l’appel de Manech. Le jeune homme et moi-même nous connaissions depuis un certain temps maintenant… Drôle de rencontre pour une drôle d’histoire. Un accident comme il s’en produit tous les jours à Brisbane, et partout dans le monde (d’ailleurs, ça me fait penser à une blague de blonde, et comme je suis très généreuse, je la partage avec vous : c’est une brune qui lit le journal avec son amie blonde, et soudain elle s’exclame « mon dieu, tu sais qu’à New York, il y a quelqu’un qui se fait renverser par une voiture toutes les deux minutes ? », et là, la blonde répond « aoutch, ça doit lui faire mal à force ! »… Quoi, vous ne l’avez pas trouvée drôle ? … tant pis, j’aurais essayé !). Un motard qui avait perdu le contrôle, et qui avait été renverser une poussette. Des cris, des gens qui courraient, des « appelez une ambulance, mon dieu, il est mooooort » qui résonnaient partout, et le père (du moins c’est ce que mon esprit empreint de logique avait soupçonné) qui regardait la poussette avec effroi, sans savoir quoi faire, pétrifié. Les gens semblaient ne pas l’avoir remarqué, voltigeant comme des vautours vers le motard écrasé à terre, le bras plié dans un angle inquiétant. Et moi, j’avais regardé ce jeune homme, qui regardait la poussette, sans savoir quoi faire, paniqué. Ma timidité s’était envolée (elle s’envole toujours dans des cas comme ça), et j’avais béni le ciel de m’avoir fait faire des études d’infirmière. En une fraction de seconde, j’avais été près d’eux. Depuis ce jour, je n’étais jamais bien loin… Même là, à Vancouver, il s’était avéré que j’étais juste à côté. La raison de l’appel de Manech sans aucun doute. « Quoi ? Co…comment ? … Oui, oui, bien sûr, aucun problème ! Quel numéro ? …. J’arrive ! » Je raccrochais mon téléphone, et traversa ma chambre en courant, attrapant le jean que je portais la veille, posé sur la chaise près de l’armoire, et je l’enfilai à grands gestes brusques, pressée par le temps. Appel désespéré. Il y avait un problème, et je me devais d’aller l’aider, enfin, les aider. Je pris une veste noire à capuche qui trainait dans le coin, pour la mettre au-dessus du débardeur blanc qui me tenait lieu de pyjama. Je courus hors du chalet, une paire de Converses aux pieds, mon portable à la main, le cœur battant. Un problème, un problème, il y avait un problème ! Il faut dire que, depuis ce fameux accident, je me sentais à la fois proche du père et du fils, et j’étais très attachée à eux, séparément, et ensemble. J’étais accro aux grands yeux rieurs de ce bébé d’à peine un an. Et j’aimais la famille qu’ils pourraient former… Qu’ils formaient… Rah, le tout est trop compliqué pour une dissertation si… matinale ! Et puis, l’heure n’était pas à la philosophie. Manech avait demandé WonderCleo ce soir. La lumière du porche du chalet de Manech et Zola était allumée : la seule à l’être encore dans cette partie-là du Sunwind. Généralement, c’était les lumières de mon « cottage » qui restaient allumées jusqu’à des heures indécentes. Parfois, je me disais que j’aurais mieux fait de demander à venir dans ce coin-là, tellement plus tranquille. J’étais parfois bien mal à l’aise là où je vivais pour ces vacances, qui avaient l’air fabuleuses sur le papier. Mais bref. Je me pressais, le cœur battant comme celui d’un lapin effrayé, le souffle court d’avoir couru sans m’arrêter. Je n’étais pas non plus une sportive de haut niveau, et je sentais nettement cette fichue crampe, ce point de côté qui torturait la droite de mes côtes ! Quelques foulées de plus, et j’étais là. Je ne pris pas la peine de sonner, de toute façon j’étais attendue, et poussa la porte, pénétrant dans le chalet. « Manech ? Manech, c’est Cleo ! Où est-ce que vous êtes ? » La voix résonna, lointaine. La chambre de Marwann sans aucun doute. Je m’y précipitais, malgré ce point de côté qui me faisait souffrir le martyre (est-ce que Jésus avait chouiné lui quand on lui avait enfoncé des clous dans les paumes des mains ? *oui, je sais, j’ai des comparaisons étranges… Que voulez-vous, ça doit être le week-end de Pâques qui fait ça !*). « Qu’est-ce qu’il se passe ? » Inquiétude, peur, peur bleue de ce qui avait pu se passer. Faîtes que ce ne soit rien de grave… Mais bon sang, pourquoi ne me disait-il pas ce qu’il se passait ?! |
| | | E. Manech Stevenson
All that you need to know âge : vingt-six ans statut : veuf et père. occupation : stagiaire en tant que directeur artistique pseudo : nevada_stick posts : 39 avatar : max irons crédits : fad out double-compte : aucun dispo RP : avec plaisir ! inscrit le : 01/04/2012
| Sujet: Re: Much Ado About Nothing # Cleo & Manech Jeu 12 Avr - 7:47 | |
| Dans la vie y'a ceux qui ont de la chance, à qui tout réussit, à ceux envers qui le proverbe " le bonheur est à porté de main" est bien plus que réel. Ils ont la vie facile, ils se rendent compte de rien, soit ils sont heureux pour rien et on les dirigent dans la case des simples d'esprits, soit la vie leur apporte tout et il se fit aux apparences. Puis y'a les autres, évidement. Parce que ça serait trop simple si on était tous dans la classe appelé "ce qui sont heureux" c'est-à-dire le reflet de la vie de bonheur de nos voisin alors que c'est totalement faux. Ouai voila on appartient tous à la secondes classes, il y a toujours des problèmes, même petits... Sauf qu'on envie toujours le bonheur du voisin. On le pense toujours mieux lotit que nous alors que sérieusement... Bref pourtant là tout de suite même en enviant le voisin comme tout le monde je sais pertinemment que là à cet instant précis, mes voisins sont bien plus heureux et content. Parce qu'ils sont dans leur lit, ils dorment d'un sommeil de plomb et rien ne viendra les déranger avant le petit matin. Je peux pas en dire pareil de mon cottage et des cris de Marwann qui raisonne depuis maintenant trois heures sans interruption. Je savais bien que c'était une mauvaise idée, Zola qui sortait sans que Marwann soit en endormit je lui avais bien dit. Il s'endort jamais avec moi, je sais pas l'endormir, je sais pas le faire arrêter de pleurer quand il commence. Alors évidement depuis minuit Marwann ne se calme pas du tout, et avant minuit j'essayais de l'endormir, donc oui ça va mal. Très mal, surtout qu'il devient de plus en plus essoufflé, il est tout rouge, et je sais qu'il a du se faire mal, mais je sais pas où, et je sais pas quoi faire. Je prend le bébé contre moi essayant de le consoler comme je peux avant d'attraper mon téléphone. Je sais que je devrais pas mais sur le coup je ne regarde même pas l'heure, non il me faut juste un miracle d'aide. Et le miracle à un prénom et un joli minois. Sa voix répond et je commence à me mettre à espérer qu'elle pourra venir.
J'essaye d'expliquer à Cleo se qui se passe mais avec les cris de Marwann et le fait que je sais pas justement pourquoi il pleure, j'arrive pas à lui dire ce que je veux. Je la supplie presque de passer, oui plus viril on repassera mais je suis au bords du gouffre. J’arrive ! C'est le seul mot que j'entends réellement dans mon inquiétude, et le téléphone est raccroché. Mon estomac se dénoue légèrement alors que je pose mon iphone et que ma main caresse maladroitement la tête de cheveux bouclé de mon fils. Allez calme toi... Cleo arrive, elle va arranger ça... calmes toi Marwann ! Je quitte ma chambre pour retourner à la sienne alors que je prend son biberon encore tiède pour voir si il n'a toujours pas faim, même si ça fait plus de deux heures que j'essaye de le faire manger, parce que ça l'endormirait peut-être ... Mais non il ba des mains, et le coup de pied que je reçois dans le ventre m'informe que je ferais mieux de laisser ça... Je lâche le biberon sur sa table à langer alors que je continue de le bercer, enfin j'essaye. Alors qu'il se tord dans tout les sens entre mes bras, j'essaye de le porter de manière allongée, mais il se raidit en gigotant... je soupire de plus en plus stressé et fatigué. Je serre les dents en essayant encore une fois de me rappeler comment Zola fait, mais seulement je fais la même chose et ça ne le calme pas. Marwann ne m'aime pas c'est simple. Il aime sa tante, il reste calme avec tout le monde, mais moi il me déteste. J4ai beau être son père il ne me supporte pas, c'est simple ! Je suis le mauvais parent resté en vie, il aurait aimé sa mère, elle aurait su comment s'occuper de lui alors que moi... j'en suis incapable. Manech ? Manech, c’est Cleo ! Où est-ce que vous êtes ? La porte d'entrée qui s'ouvre puis sa voix, je soupire alors que mon corps reste pourtant tendu. Sa voix semble affolée mais sur le coup je n'y fais pas attention, je ne prend même pas compte que je l'ai réveillé en pleine nuit et que dans peu de temps je vais me sentir tellement nul et vraiment de l'avoir fait. Non sur le coup même à l'autre bout de la maison sa voix m'apaise.
Elle débarque dans la chambre et je me tourne vers elle au bord de la panique la regardant avec effarement alors que Marwann l'apercevant continuer de pleurer et se tordre. Qu’est-ce qu’il se passe ? Je la fixe un instant sans savoir exactement comment lui dire, comment expliquer ou même quoi répondre. Parce qu'en fait je sais pas, c'est ça le problème, je sais même pas ce qu'à mon fils. Je sais pas l'écouter, ni le comprendre je sais pas quand il va mal ! Je... j'en sais rien... il fait que pleurer ! Je sais pas ce qu'il a ... ça va faire plus de trois heures qu'il hurle, il n'arrête pas.. je sais pas ce qu'il a ... il s'est cogné la tête contre son lit, mais il avait rien... mais il arrête plus de pleurer... et je sais pas quoi faire. Zola est parti, elle répond pas à son foutu portable... je sais plus quoi faire.. Je répond essayant de couvrir les cris de Marwann. Je finis par la rejoindre et lui tendre Marwann avec rapidité. Tiens prends le... il se calme pas avec moi... il m'aime pas, fais le dormir ! Je le donne à Cleo avant de m'éloigner. Et les pleures cesse alors que Marwann tourne son regard vers moi sans me lâcher des yeux, me fixant avec stupeur, sans pour autant reprendre à pleurer. Je referme mes bras autour de moi. Mon fils ne m'aime pas, voila la preuve même !
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| | | Cleo L. Williams
All that you need to know âge : vingt-trois ans statut : Célibataire ville d'origine : Brisbane, Australie occupation : Infirmière pseudo : Leo posts : 110 avatar : Jennifer Lawrence crédits : Sugar Slaughter/tumblr double-compte : Non dispo RP : avec plaisir ! inscrit le : 05/04/2012
| Sujet: Re: Much Ado About Nothing # Cleo & Manech Jeu 12 Avr - 17:05 | |
| Des cris, des mots, je ne comprends rien, mais je sais que c’est urgent. Manech ne m’appellerait pas à une heure pareille si ce n’était pas important. Les yeux endormis, la tête encore au pays des rêves, j’émerge beaucoup plus rapidement que je n’aurais pu le penser, et dis le mot magique, qu’il devait crever d’envie d’entendre : j’arrive. Je m’habille aussi vite que je peux et, moins d’une minute plus tard, je me mets à courir vers le chalet du jeune homme. Mes foulées sont rapides et régulière, je n’ai pas le temps de caler mon souffle dessus. Tant pis si j’arrive essouflée. Dans mon métier, on ne le répète jamais assez : le plus tôt, c’est le mieux. Plus tôt on arrive sur les lieux, plus on a de chances de sauver la personne. C’est aussi simple que ça. Quand il y a un problème, notre pire ennemi n’est rien d’autre que le temps. Les secondes sont précieuses, et il ne faut pas les gâcher. Sur ces précieux conseils.. Je continue à courir. Le chalet du jeune homme est de plus en plus proche, je le vois, au loin. J’accélère, et pousse la porte. Où sont-ils, que ce passe-t-il ? Je traverse la maison avec rapidité, débarquant dans la chambre de Manech, qui tient Marwann dans ses bras, l’air complètement paniqué. Dans les bras du jeune homme, le bébé gigote, pleure, rouge d’avoir trop crié sans aucun doute (ce qui est assez inquiétant ! Son petit cœur pourrait ne pas résister s’il ne se calme pas…), se tord dans tous les sens, comme pour échapper à l’étreinte de son père. Je respire, je me calme. Une personne stressée, c’est bien assez. Au moins Marwann ne saigne pas, n’a pas l’air d’être à deux doigts de mourir, ni rien. « Je… j’en sais rien… il fait que pleurer ! Je sais pas ce qu’il a… ça va faire plus d trois heures qu’il hurle, il n’arrête pas… je sais pas ce qu’il a… il s’est cogné la tête contre son lit, mais il avait rien…mais il arrête plus de pleurer… et je sais pas quoi faire. Zola est parti, elle répond pas à son foutu portable… je sais plus quoi faire… » J’inspire calmement, passe mes mains sur mon visage, et lorsqu’elles retombent le long de mes cuisses, je suis calme. Parfaitement calme. Au placard la Lily s’inquiétant pour Marwann et Manech, je laisse Cleo l’infirmière prendre le dessus. Parlez-moi de schizophrénie ! « Tiens prends le… ile se calme pas avec moi… il m’aime pas, fais le dormir ! » Sans me laisser le temps de dire ou de faire quoique ce soit, Manech me tend Marwann, le déposant entre mes bras ouverts instinctivement pour réceptionner le bébé. De mon regard expert, je le scrute, vérifiant qu’il n’a aucune plaie que j’aurais pu louper quelques instants plus tôt. Rien, il va bien. Il est en forme. Une légère rougeur au niveau du front, mais à part ça, rien du tout. Il ne fait que… pleurer… « Chhhh… calme toi… » murmurai-je en plongeant mes yeux bleus dans le regard du petit bonhomme d’à peine un an, resserant doucement mon étreinte, son petit corps venant se coller contre mon corps chaud. Les bébés aiment la chaleur, c’est bien connu. Lucky me d’être une bouilloire sur pattes. Avec ma douceur habituelle, je me mets à le bercer doucement, caressant sa petite joue rondellette du bout de mon index. « Chhhh, Chhhhh, c’est rien… C’est rien… Calme toi… » Les pleurs cessent. Marwann me regarde, avant de tourner ses grands yeux si adorables vers son papa, bras croisés, qui le dévisage. Je me mords doucement la lèvre, devinant sans grande peine ce qu’il se trame dans la tête de l’homme en face de moi. Marwann ne lâche pas Manech du regard alors que je continue à le bercer, jusqu’à être certaine que ses pleurs ne vont pas recommencer. Je le soulève légèrement, et passe doucement mon doigt sur sa petite rougeur. Le bébé fronce légèrement le nez, mais ne dis rien, ne fais rien, ne pleure pas… « En tout cas, il n’a rien… Si tu dis qu’il s’est cogné, ça explique la petite marque, mais demain il n’y paraîtra plus rien… » Je joue avec les petites mains de l’enfant, qui a tourné ses yeux rieurs vers moi, cet adorable sourire qu’ont tous les enfants dessiné sur ses petites lèvres roses. Automatiquement, je me mets à sourire aussi. Puis, je tourne la tête vers Manech, un brin plus sérieuse. « Détend toi… Respire… il n’a rien Manech… » Je lui lance un petit sourire, et traverse la pièce, pour gagner la chambre du nourisson, et le recoucher. Jolie, claire, propre, elle semble déborder d’amour cette pièce. Je me demande si c’est Manech qui s’en est occupé. Pourquoi est-ce que j’en doute ?... Je mets le fils du jeune homme dans son berceau, et approche de sa tête le doudou qu’il réclame en fermant et ouvrant sa petite main. « C’est ça que tu veux, Mmmm ? Le voilà… le voilà oui… » Je souris, ris presque, comblée devant cet adorable bout de chou qui s’extasie devant sa peluche visiblement favorite, et caresse ses cheveux bouclés. Je tourne la tête vers Manech, à l’embrasure de la porte, lui faisant signe de s’approcher. « Viens… Regarde, il est paisible… » Paisible, adorable… Marwann est un amour. Vif et intelligent, et doté d’une qualité que je possède aussi : l’empathie. De là où je suis, je peux sentir le stress qui s’accumule autour de Manech. Le soulagement, quand je suis entrée dans la pièce. Le regard, quand Marwann avait cessé de pleurer dans mes bras. Et là encore… J’insistais, l’invitant à s’approcher. Il avait un fils fabuleux… Pourquoi diable avait-il si peu confiance en lui ? |
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